Photo : Etienne Plummer
« Quelque part entre Pink floyd, Radiohead et les Beatles, Steppe est parcouru d’accents métissés: arabes, indiens ou encore issus de la musique de transe… »
Il y a des mots qui recèlent des puissances imaginatives : ainsi en est-il de « steppe ». De cette zone de terre et de végétation qui s’étirent horizontalement à l’infini.
La métaphore peut sembler facile et usée : la musique comme voyage. Mais, avec Steppe, cette image conserve sa pertinence et sa beauté évocatrice des lointains que nous portons en nous.
« L’orage est passé. Le brouillard s’est dissipé. Confinés dans nos intérieurs, longtemps enfouis en nous-mêmes, avons-nous pour autant cessé de voyager? Avons-nous perdu notre route, égarés tels des arbres dans la steppe, improbables témoins d’un paysage nouveau? Non, la création a continué son chemin sans relâche.
La Steppe est devant nous. Nous irons là où se mêlent les instruments et le chant, les compositions et l’improvisation, la narration et les percussions, l’acoustique et l’électronique.
Nous retrouverons le vent qui souffle sur nos visages et nos corps. »
Thomas Grailet : chant et guitares
Etienne Plumer : percussions
Emmanuel Baily : chant et guitares
En invité :
Grégoire Tirtiaux : saxophones